Présentation du projet "Douala, Ville d'art et d'histoire... "
Douala accueille une population de plus en plus importante. La ville assume de plus en plus clairement son rôle de pôle économique et démographique, mais ne s'est pas encore dotée d'une identité culturelle propre qui contribue à l'intégration sociale et à la qualité de vie de ses habitants, et des personnes de passage...
Douala se doit donc d'être plus attrayante en terme de cadre de vie, notament en mettant en valeur son patrimoine historique et artistique et en l'enrichissant de créations contemporaines.
C'est dans cette perspective que Doual'art a construit le projet "Douala, Ville d'art et d'histoire".
Ce projet consiste à baliser trente sites et bâtiments historiques de la ville de Douala, dans la période qui s'étend de la fin du XVIè siècle jusqu'à l'indépendance du Cameroun en 1960.
Les objectifs de ce projets sont de:
- Valoriser l'histoire de la ville de Douala et montrer qu'elle est marquée, de tous temps, par l'ouverture à l'autre.
- Préserver la mémoire et promouvoir la conservation du patrimoine, notamment en professionnalisant au sein de la communauté urbaine de Douala, un personnel compétent pour gérer le patrimoine de la cité.
- Créer des repères historiques dans la ville de Douala et les mettre à la portée des habitants et des touristes, ce qui leur permettra d'appréhender l'histoire coloniale et précoloniale.
- Enrichir le patrimoine artistique contemporain de la ville.
Le balisage des lieux, témoins du passé, s'effectue au moyen de mobilier urbain, les arches de la mémoire, dessinées par la designer Sandrine Dole. La forme utilisée évoque ces arches de palmes qui balisent traditionnellement l’entrée des lieux en fête au Cameroun. Ces arches, désormais faites de métal, sont autant de portes temporelles ouvrant vers un passé de résistances aux violences coloniales.Les textes, inscrits sur des plaques de plexiglas et rédigés par les historiens Valère Epée, Lionel Manga et Blaise Ndjehoya, expliquent en français et en anglais (les deux langues officielles du Cameroun) l'histoire de ces sites et de la ville de Douala.
Douze arches, au quartier Bonanjo, retracent la mise en place des institutions judiciaires, pénitentiaires, commerciales et sanitaires, par les administrations coloniales successives(britannique, allemande et française), ainsi que le lignage des rois Bell. Cinq autres sont implantées au quartier Akwa et présentent l’introduction de la chrétienté au Cameroun et les bases de la construction urbaine de la ville de Douala.
Douala se doit donc d'être plus attrayante en terme de cadre de vie, notament en mettant en valeur son patrimoine historique et artistique et en l'enrichissant de créations contemporaines.
C'est dans cette perspective que Doual'art a construit le projet "Douala, Ville d'art et d'histoire".
Ce projet consiste à baliser trente sites et bâtiments historiques de la ville de Douala, dans la période qui s'étend de la fin du XVIè siècle jusqu'à l'indépendance du Cameroun en 1960.
Les objectifs de ce projets sont de:
- Valoriser l'histoire de la ville de Douala et montrer qu'elle est marquée, de tous temps, par l'ouverture à l'autre.
- Préserver la mémoire et promouvoir la conservation du patrimoine, notamment en professionnalisant au sein de la communauté urbaine de Douala, un personnel compétent pour gérer le patrimoine de la cité.
- Créer des repères historiques dans la ville de Douala et les mettre à la portée des habitants et des touristes, ce qui leur permettra d'appréhender l'histoire coloniale et précoloniale.
- Enrichir le patrimoine artistique contemporain de la ville.
Le balisage des lieux, témoins du passé, s'effectue au moyen de mobilier urbain, les arches de la mémoire, dessinées par la designer Sandrine Dole. La forme utilisée évoque ces arches de palmes qui balisent traditionnellement l’entrée des lieux en fête au Cameroun. Ces arches, désormais faites de métal, sont autant de portes temporelles ouvrant vers un passé de résistances aux violences coloniales.Les textes, inscrits sur des plaques de plexiglas et rédigés par les historiens Valère Epée, Lionel Manga et Blaise Ndjehoya, expliquent en français et en anglais (les deux langues officielles du Cameroun) l'histoire de ces sites et de la ville de Douala.
Douze arches, au quartier Bonanjo, retracent la mise en place des institutions judiciaires, pénitentiaires, commerciales et sanitaires, par les administrations coloniales successives(britannique, allemande et française), ainsi que le lignage des rois Bell. Cinq autres sont implantées au quartier Akwa et présentent l’introduction de la chrétienté au Cameroun et les bases de la construction urbaine de la ville de Douala.